
Assis dans le grenier poussiéreux, au milieu des objets oubliés, les souvenirs remontaient. Il y avait longtemps que je n’avais pas fait de mise en abîme et aujourd’hui je plonge. Je me souviens de l’époque où la douce indifférence du monde ne m’atteignait pas encore. Mon regard suivait le fil de l’horizon, rêvant d’aventures inconnues.
Un jour, je suis tombé sur Le Chiendent, un livre étrange qui parlait d’un univers foisonnant et absurde. À cette époque, Les Choses simples de la vie me suffisaient, mais une soif de comprendre le mystérieux étranger qui sommeillait en moi grandissait. Plus tard, j’ai eu l’impression que Tout ce que nous allons savoir était déjà écrit quelque part, dans les étoiles peut-être. J’aimais me perdre dans Parc Sauvage, un recueil de poèmes qui évoquait une nature à la fois familière et insaisissable. J’y croisais parfois l’ombre énigmatique de Monsieur Teste, cet esprit acéré qui scrutait le monde avec une froideur analytique.
Et puis, il y avait cette histoire, celle de La Fille qu’on appelle…, un récit poignant qui m’a rappelé la fragilité et la force des êtres. Tous ces livres, chacun à sa manière, ont tissé la trame de ma propre histoire.

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https://ghyzou.blogspot.com/2025/05/defi-136-chez-mille-et-une-suite.html
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je regarde mais notre mode de fonctionnement pour notre atelier est différent. Il faut que je mette en ligne. Bises
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Ah zut j’ai zappé. Sans la news, si je met pas le post it j’oublie
On avait jusque quand ???
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Bonheur de te lire aujourd’hui chère Lilou, merci pour ce partage… oui, la vie est très fragile… doux bisous et beau week-end, dans la joie et la tendresse.
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