mardi 11 juin
journée du chèvrefeuille
journée nationale de dépistage
La journée nationale de dépistage du cancer de la peau est une opération de santé publique parrainée, depuis sa création en 1998, par le Ministère de la santé, est soutenue également par l’Institut National du Cancer (INCa). En réalité, il faut aujourd’hui parler de semaine de dépistage et, pour 2023, nous n’avons pas encore eu communication des dates officielles et avons conservé le 2ème dimanche de juin pour son démarrage (comme l’année précédente).
C’est sa fête : Barnabé
Juif chypriote, Barnabé figure parmi les premiers apôtres du Christ. Il accompagne Paul dans son premier voyage en Asie mineure puis il part de son côté à Chypre où il est lapidé. Barnabé convainc les premiers disciples de ne pas imposer les rituels juifs comme la circoncision aux convertis d’origine non juive (les « Gentils »). Il permet ainsi au christianisme de devenir une religion universelle.
Embrassons aussi si nous en connaissons
Adélaïde – Yolande – Rembert – Herebald
Dictons du jour
À la Saint-Barnabé, canards potelés.
naissance
Christophe-Philippe Oberkampf
11 juin 1738 à Wiesenbach (Saint-Empire) – 4 octobre 1815 à Jouy-en-Josas – Originaire du Wurtemberg, Christophe-Philippe Oberkampf se forme au métier de tisserand à Bâle, à Aarau, dans la fabrique d’indiennes de son père, ainsi qu’à Mulhouse. En 1760, il fonde une manufacture de tissus imprimés près de Versailles, à Jouy-en-Josas, au bord de la Bièvre, un affluent de la Seine réputé pour la qualité de ses eaux. Sa production va s’attirer une grande réputation à la cour et dans les milieux arisstocratiques sous le nom de « toile de Jouy ». Devenue manufacture royale, elle en vient à compter 36 bâtiments sur une surface de 14 hectares en 1804, sous le Consulat, avec un effectif de 1300 employés dont trois-quarts de Français et une forte proportion de Suisses, surtout à la direction.
Décès
Histoire
11 juin 1842 : François Guizot et Alexis Legrand bâtissent le réseau ferré français -Le 11 juin 1842, François Guizot, ministre du roi Louis-Philippe, promulgue une loi décisive sur les chemins de fer. Elle va dessiner le futur réseau ferré français et relancer l’investissement en remédiant à l’insuffisance de capitaux. Par cette loi, l’État promet en effet des monopoles avec des concessions à long terme aux compagnies privées qui voudront se lancer dans l’aventure.
Conçue en concertation avec l’ingénieur des Ponts et Chaussées Alexis Legrand, la loi projette aussi sept réseaux en étoile au départ de Paris, vers la Manche, l’Atlantique, les Pyrénées, la Méditerranée et le Rhin, ainsi que deux réseaux transversaux de la Méditerranée au Rhin et de l’Atlantique à la Méditerranée. Chaque réseau est déconnecté des autres car il ne s’agit pas que les compagnies privées puissent fusionner et se constituer en monopole !
Ce réseau centralisé, dit « étoile de Legrand », va déterminer l’aménagement du territoire national pour le siècle à venir. Il va être repris par les législateurs britanniques, avec un réseau en étoile autour de Londres, les Américains et les Allemands lui préférant un réseau multipolaire avec des hubs.
La mise en oeuvre de la loi Guizot va être retardée par les crises économiques et politiques et ne démarrera vraiment que sous le Second Empire, sous l’impulsion de Napoléon III qui a retenu de son exil antérieur les réussites anglaises…
11 juin 1924 : démission d’Alexandre Millerand, président de la République depuis 1920
Peu avant les élections législatives de mai 1924, le socialiste Alexandre Millerand, président de la République depuis le 23 septembre 1920, avait manifesté son attachement à la majorité sortante, de droite. Aussi le Cartel des gauches, qui remporta ces élections, demanda-t-il la démission de Millerand qui, dans un premier temps, n’obtempéra pas.
Mais lorsque la Chambre des députés lui refusa sa confiance lors de sa tentative de former un nouveau gouvernement, le président de la République présenta cette fois sa démission, et fit connaître aux Français les raisons et circonstances de celle-ci dans sa « Lettre au pays » ainsi libellée : suite

A demain

Quand il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard. A moins que Barnabé, ne lui coupe l’herbe sous le pied…
Ce dicton du 8 juin peut donc être encore cité aujourd’hui, même si d’un point de vue météorologique je ne saurais pas vraiment l’interpréter tellement la météo du jour (comme celle du 8 d’ailleurs) laisse à désirer !
Pour l’année du dépistage, je crois que tu retardes un peu, et le chèvrefeuille des voisins embaume bien le quartier ! 😉
Belle journée à toi ! ♥
J’aimeJ’aime
Merci pour tout ce que tu nous apprends. Bisous
J’aimeJ’aime
Ce jour re-pluie, petite bruine, ciel bas mais on s’y fait …
J’aimeJ’aime