jeudi 4 juillet
journée chez les Républicains : journée du tabac je préconise la plante décorative
journée chez les Celtes les arbres de l’été sont à l’honneur : le pommier
C’est sa fête : Élisabeth
Élisabeth, reine de Portugal, très pieuse, dut supporter les incartades de son mari, Denis. Devenue veuve, elle entra en religion et mourut en 1336.
Embrassons aussi si nous en connaissons
Isabelle – Isolde – Berthe – Guillaume – Oldoric
Dictons du jour
Pour la Sainte-Berthe, se cueille l’amande verte
naissance
Giuseppe Garibaldi
4 juillet 1807 à Nice – 2 juin 1882 à Caprera (Italie)– Italien né à Nice, Garibaldi est le plus flamboyant des agitateurs du XIXe siècle. Il s’illustre d’abord en défendant l’indépendance de l’Uruguay à la tête de ses légionnaires, les «Chemises rouges». En 1848, il regagne l’Europe en ébullition et se met au service d’une éphémère république romaine.
Décès
François-René de Chateaubriand
4 septembre 1768 à Saint-Malo – 4 juillet 1848 à Paris – Avec les romans Atala (1801) et René (1802), le vicomte François-René de Chateaubriand apparaît comme le précurseur du romantisme. C’est aussi le premier des grands hommes de lettres du XIXe siècle à s’engager activement dans la vie politique. Manifestant son soutien au Premier Consul Bonaparte et au Concordat, il publie en 1802 le Génie du christianisme.
Mais il prend ses distances avec Napoléon Bonaparte après l’exécution du duc d’Enghien, se retire à la Vallée-aux-Loups, au sud de Paris. En 1814, il s’érige en champion de la Restauration monarchique. Ministre des Affaires étrangères de Louis XVIII, il prend prétexte d’une insurrection libérale en Espagne pour offrir à l’armée française un succès facile et aux Bourbons une revanche après les humiliations de l’ère révolutionnaire.
Marie Curie
7 novembre 1867 à Varsovie (Pologne, Russie) – 4 juillet 1934 à Sancellemoz – Avide d’étudier, Marie Sklodowska quitte sa Pologne natale et s’inscrit à la Sorbonne avant d’entamer des recherches à l’École de Physique et Chimie de Paris, où elle rencontre Pierre Curie, son futur mari. Celui-ci, né à Paris le 15 mai 1859, est déjà un savant connu quand il épouse Marie et lui donne son nom. Le couple a deux filles : Eve et Irène. Il reçoit aussi la moitié du prix Nobel de physique 1903 suite à la découverte d’un nouveau métal, le radium, jusqu’à 3 millions de fois plus radioactif que l’uranium (l’autre moitié du prix est attribuée à Henri Becquerel). Mais Pierre, épuisé par ses recherches, meurt prématurément dans un accident de la circulation : son vélo est renversé par une voiture à cheval au débouché du Pont Neuf, à Paris, le 19 avril 1906.
Histoire
4 juillet 1954 : Le «miracle de Berne»
Le 4 juillet 1954, l’Allemagne remporte contre toute attente la Coupe du Monde de football : c’est le « miracle de Berne » qui rend sa grandeur et sa respectabilité à toute une nation…
4 juillet 1465 : ordonnance imposant la présence de lanternes dans les rues
Ce n’est que bien récemment que l’on a su mettre en œuvre, dans les grandes villes de l’Europe, les mesures de sûreté nécessaires à leur police intérieure. Au début du XVIIIe siècle, Paris était encore mal éclairé pendant la nuit.
Quelques chandelles placées dans de mauvaises lanternes, et disposées dans un petit nombre de rues, ne peuvent en effet être présentées comme preuve de l’existence, à cette époque, d’un éclairage public. Les récits du temps, ont suffisamment fait connaître les dangers que présentaient alors, dès les premières heures de la nuit, les rues de la capitale, désertes, obscures et infestées de voleurs. Ce n’est pas par une amplification poétique que Boileau a dit dans sa sixième satire :
Le bois le plus funeste et le moins fréquenté
Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.
Malheur donc a celui qu’une affaire imprévue
Engage un peu trop tard au détour d’une rue.
Bientôt quatre bandits lui serrant les côtés :
La bourse ! il faut se rendre !…


A demain
