la marche funèbre pour une marionette
un morceau bien court mais qui rappellera peut-être des souvenirs
L’ironie persifleuse de Gounod dans sa Marche funèbre pour une marionnette et de Sains-Saëns dans sa Danse macabre, fait pendant à la tendresse des Jeux d’enfants de Bizet et au lyrisme des Scènes alsaciennes de Massenet, exemples d’orchestration française raffinée par des compositeurs d’opéra qui savaient aussi se montrer à l’aise en symphonique.
La plume qui chatouille 
Je connais par coeur la danse macabre de Camille Saint-Saëns car je me suis intéressée très tôt à ce poème symphonique plutôt rigolo quand tu connais l’histoire que raconte chaque instrument. J’adore ! Alors bien évidemment, j’ai écouté avec joie ce morceau que tu proposes. Merci ! Merci !
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Merci 😉 amitiés, jill
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