La quintessence de la sapience –


Le petit Dominique Gay-Mariolle naît le 27 décembre 1767, au hameau de la Séoube, au pied du col d’Aspin, dans la haute vallée de l’Adour. Devenu un solide bûcheron, ce montagnard, désireux de défendre « la Patrie en danger », s’engage, le 1er février 1792 au 2e bataillon de chasseurs des Hautes-Pyrénées. Au vu de sa pratique du tambour, il en devient… le tambour-major. Le 15 septembre 1796, pendant la campagne d’Italie, lors de la bataille de Saint George, près de Mantoue, il est blessé et reçoit, pour prix de sa bravoure, un sabre d’honneur. En novembre, au pont d’Arcole, il serait venu en aide à Bonaparte, tombé de son cheval dans le marais de l’Alpone. Il faut dire que ce gaillard est un géant pour l’époque – il mesure entre 1,90 m et 2,10 m. Voyant son général en mauvaise posture, il l’aurait saisi par le col de son habit pour l’extirper de la boue et l’aurait porté sur son dos.

chez les aminautes :

François dire ses quatre vérités
Marie SylvieMarcher sur des œufs
Marie des vignes
Monica Breiz : pierre qui roule n’amasse pas mousse
Tortue : Découvrir le pot aux roses
Zaza la réponse du berger à la bergère

A jeudi prochain

4 commentaires sur « La quintessence de la sapience – »

  1. Coucou ma Lilou.

    eh oui. Il y en a des comme cela…Une expression que proférée souvent de façon négative.

    Bises et bon jeudi – Zaza

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