La quintessence de la sapience –

.Pourquoi la sapience ? Parce que c’est la sagesse et que nous sommes des Homos sapiens donc des hommes sages !

Origine: L’expression « faire les quatre cents coups » est souvent rattachée au siège de Montauban (1621) pendant lequel on parle de « 400 coups de canon » tires sur la ville (mention attribuée au maréchal de Bassompierre dans ses Mémoires).

chez les aminautes :

François Ne pas valoir tripette
Marie Sylvie
être en odeur de sainteté
Marie des vignesEn baver
Monica Breiz : Faire boule de neige
Tortue : d’arrache pied
Zaza vieux comme le monde

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A jeudi prochain

La quintessence de la sapience –

.Pourquoi la sapience ? Parce que c’est la sagesse et que nous sommes des Homos sapiens donc des hommes sages !

Origine: En effet le cheminement des origines de cette expression française reste très énigmatique. Pour la plupart des auteurs, « mettre les petits plats dans les grands » est apparue au début du XIXème siècle et vient d’une expression française analogue du XVIIème  à savoir « mettre les petits pots dans les grands » au sens de « arranger toute chose pour un déménagement ».
Selon d’autres explications, plus conformes par leur logique, les « petits plats » évoqués dans cette expression française renvoient à l’image de mets raffinés, cuisinés avec beaucoup de soins et les « grands plats » renvoient à la belle vaisselle que l’on sort pour les grandes occasions.

chez les aminautes :

François le bout du tunnel
Marie Sylvie
boire le calice jusqu’à la lie
Marie des vignes
Monica Breiz : être patraque
Tortue : Ne pas faire de quartiers
Zaza Avoir la tête dans le cul

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La quintessence de la sapience –

Mes excuses pour les retard de publication, l’article est reste en blog restant.

Selon le Robert, cette locution est une tapinose. Contrairement à ce que leur nom suggère, les tapinoses ne sont pas des expressions liées à la prostitution, mais des « hyperboles contraires, fondées sur l’usage de termes péjoratifs ou d’un registre de langue familier voire vulgaire. Relevant de l’ironie, elles visent à réduire la grandeur d’une action, d’une idée ou d’un objet ».

L’hypothèse la plus courante est qu’il s’agit simplement d’affirmer que casser trois pattes à un canard serait extraordinaire parce que… les canards à trois pattes sont extraordinaires. De ce point de vue, notre expression serait cousine d’une autre locution aviaire : « quand les poules auront des dents ».

Une seconde hypothèse, plus douteuse, est qu’il s’agissait au départ de chevaux cagneux, indociles et surnommés « canards » à cause de la forme de leurs pattes. Pour les dompter, les cavaliers auraient parfois été contraints de leur casser… jusqu’à trois pattes. Quel intérêt de briser les membres de son propre cheval ? On ne comprend pas trop. Autant dire que cette explication… ne casse pas trois pattes à un canard.

chez les aminautes :

François fort comme un turc
Marie Sylvie
Pleurer comme une madeleine
Marie des vignes
Monica Breiz : Avoir à la bonne
Tortue : grenouilles de bénitier
Zaza Avoir un coup de pompe

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Une histoire de fesses

« Cette situation ne peut plus durer, j’en ai ras-le-bol, je m’en vais ! » Il vous est probablement déjà arrivé de réagir de la sorte, mais avez-vous déjà pensé au sens véritable de cette expression ? Spontanément, on associe le bol à un récipient prêt à déborder face à un trop-plein de colère ou d’émotions difficiles à gérer. Sauf que le bol ici n’est pas le contenant dans lequel on boit son café au lait le matin ou sa soupe le soir.

Comme l’explique le journaliste Jamy dans sa série de vidéos Epicurieux, « le bol vient du mot anglais « bowl », qui désigne un récipient plus profond que large. Les racines européennes du mot signifient « enfler », « être enflé ». Et en argot, le bol désigne la partie renflée de notre anatomie : le cul”. Oui, vous avez bien lu, on parle bien de postérieur. L’expression fait donc écho à sa version plus vulgaire “en avoir ras le cul”.

Bien que surprenante, cette hypothèse est soutenue par les éditions Larousse dans leur Dictionnaire étymologique et historique du français et l’ouvrage Le pourquoi et le comment des expressions françaises, . À en croire les deux ouvrages, la comparaison entre un bol et les fesses serait liée à la forme sphérique de celles-ci.

chez les aminautes :

François Avoir un tuyau percé
Marie SylvieJouer les bons samaritains
Marie des vignesEtre un vieux de la vieille
Monica Breiz : avoir une sacrée caboche
Tortue : Ne pas faire un pli
Zaza comme la vérole sur la bas clergé

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Exemple de phrase avec l’expression « Au ras des pâquerettes » :

Ce qui importe, au ras des pâquerettes, c’est que la beauté soit une marchandise et se vende au prix fort.

chez les aminautes :

François Les sept vaches maigres
Marie Sylvie
ÊTRE ATTENDU COMME LE MESSIE
Marie des vignes
Monica Breiz : Arrête ton char
Tortue : déménager à la cloche de bois
Zaza Avoir les boules

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chez les aminautes :

François Une famille tuyau de poêle
Marie SylviePersona non grata
Marie des vignes à tout à l’heure
Monica Breiz : Copains comme cochons »
Tortue : au pied levé
Zaza «  Avoir la tête près du bonnet »

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La quintessence de la sapience –

Exemples

Elle avait eu tort, comme quoi il ne faut jamais s’affoler. Remarque que claquer comme ça ou autrement… Mais à l’époque, j’étais encore un petit  peu cœur d’artichaut. (A. Sergent)

chez les aminautes :

François Mort au vaches
Marie SylvieAvoir un corbeau dans les parages
Marie des vignes
Monica Breiz : Etre sur ses gardes
Tortue : « Petite pluie abat grand vent« 
Zaza S’en battre l’oeil

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La quintessence de la sapience –

Exemples

Elle avait eu tort, comme quoi il ne faut jamais s’affoler. Remarque que claquer comme ça ou autrement… Mais à l’époque, j’étais encore un petit  peu cœur d’artichaut. (A. Sergent)

chez les aminautes :

François Pleuvoir comme vache qui pisse
Marie SylvieAller battre à Niort
Marie des vignesHaro sur le baudet
Monica Breiz : Balayer devant sa porte
Tortue : « Y a pas le feu au lac« 
Zaza Demain on rase gratis !

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La quintessence de la sapience –

Exemples

« Le temps d’esquiver une claque et d’en recevoir la moitié d’une, il comprit que son exploit avait fait les choux gras de la presse locale et que son père n’en était pas satisfait. »
René Fallet – Le triporteur – 1957

chez les aminautes :

François Le veau d’or
Marie SylvieTomber de charybde en Scylla
Marie des vignes
Monica Breiz : Il y a anguille sous roche
Tortue :
Zaza « Finir en queue de poisson »

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La quintessence de la sapience –


 Origine :  Expression française qui remonte au XIIIème siècle sous la forme « chat échaudé craint l’eau« . Le rajout de l’adjectif froide ne fait que renforcer l’idée d’une crainte exagérée. Par définition le verbe échauder désigne le fait  de tremper quelqu’un dans l’eau chaude. Donc vu le traitement subi à ce chat, la vue de tout liquide lui provoquerait un traumatisme quelque soit son degré de chauffage.
Cette métaphore peut se transmettre à l’homme qui par instinct va éviter de se retrouver dans pareille situation malgré le fait que sa raison pourrait lui affirmer que revivre exactement les mêmes faits n’est pas automatique comme dans le cas d’un échec  amoureux.

Chat échaudé, cœur glacé

Personnage :
J’lui ai dit « Je t’aime », elle m’a répondu « T’es comme un frère pour moi ».
Depuis ce jour-là… crois-moi, chat échaudé craint l’eau froide !

Maintenant, quand une fille me dit « faut qu’on parle »,
je mets un casque, un gilet de sauvetage et je fuis !
L’amour ? Non merci…
j’ai déjà pris ma douche froide sentimentale.

chez les aminautes :

François autant en emporte le vent
Marie Sylvieêtre aux abonnés absents
Marie des vignes
Monica Breiz : couper la poire en deux
Tortue :
Zaza trier sur le volet

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